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Franck Chartier « Une quête semblable à celle de la plume rouge »

Propos recueillis par Isabelle Calabre

Pourquoi avoir souhaité revenir à cette pièce ?
Lorsque Yorgos Loukos nous a proposé de travailler avec le Ballet de l’Opéra de Lyon, nous lui avons suggéré de reprendre dans une nouvelle adaptation ce 32 rue Vandenbranden qui nous tient particulièrement à coeur, et dont l’actualité nous paraît plus que jamais brûlante – puisqu’il traite entre autre de migrations, de déracinement et de ce besoin qu’éprouvent certains à rester attachés à leur propre culture.

En quoi ces thèmes vous touchent-ils particulièrement ?
Gabriela Carrizo et moi sommes tous deux les petits derniers de nos familles respectives. Tandis que les aînés ont demeurés proches de l’endroit où ils ont grandi, les autres se sont éloignés. Cette question – rester, partir – est au coeur de 31 rue Vandenbranden, qui montre des gens vivant dans un village soumis à des conditions extrêmes, à trois mille mètres d’altitude sous la neige. D’où cette interrogation : pourquoi ne quittent-ils pas ce lieu inhospitalier ? L’arrivée par accident de deux étrangers prouve qu’il existe bien un chemin pour s’en aller, donc pour quelle raison ne le prennent-ils pas ? Le thème sous-jacent est celui de l’intégration, puisque l’un des deux visiteurs s’adapte et l’autre pas. Enfin, toute la pièce est traversée par le motif de la quête. Une quête semblable à celle de la plume rouge mise en musique par Stravinsky dans L’Oiseau de feu, dont on entend la partition réarrangée.

Qu’est-ce qui, dans cette version 3.0, a changé par rapport aux deux précédentes ?
À ce jour, les danseurs de notre compagnie Peeping Tom ont joué cette pièce 190 fois. Pour eux, chaque rôle est rempli de l’expérience de ces représentations, ainsi que de toutes les scènes qui ont été progressivement abandonnées durant les cinq mois d’élaboration préalable des différents caractères. Le challenge, ici, est de plonger les danseurs du Ballet de Lyon directement dans ce bain. Le décor est le même, ainsi que l’histoire. En revanche, la gestuelle a évolué. Grâce aux qualités techniques des interprètes du Ballet de l’Opéra de Lyon, il a été possible d’aller encore plus loin dans le développement. L’intérêt est d’approfondir les relations des personnages et leurs décisions dans l’histoire, de parler de notre nostalgie pour les vies non vécues, pour les identités non explorées et les chemins non parcourus. 31 rue Vandenbranden reste avant tout une histoire d’être humain et de couple.

Comment avez-vous travaillé avec la compagnie ?
C’est un peu comme si nous nous trouvions à l’intérieur d’un garage rempli de Ferrari et qu’on nous disait : « Allez-y, faites ce que vous voulez ! ». Leur base classique leur donne des capacités exceptionnelles, de sorte qu’on peut toujours leur demander plus. Lors de la scène de l’orage, ils font des bonds d’une hauteur incroyable et finissent littéralement écrasés au sol. À nous de réussir à intégrer cette virtuosité et de la faire entrer dans une histoire, afin qu’elle prenne un sens.

La théâtralité de votre langage scénique a-t-elle posé des difficultés particulières ?
Non, car les danseurs du Ballet sont aussi très forts, théâtralement parlant. Peut-être, au fond d’eux-mêmes, ont-ils un peu peur de ce mode d’expression mais ils ont l’habitude de ce type d’expérimentations et ils y vont « à fond » ! En outre, la situation de départ est suffisamment théâtrale pour qu’il soit inutile de surinterpréter chaque rôle. Il suffit d’être vrai et d’ailleurs, sur le plateau, chacun s’appelle par son vrai prénom, comme dans la vie réelle. Quand l’action est forte, pas besoin d’en rajouter. En fait, la principale difficulté est de faire ressentir la solitude qui frappe chacun des personnages, même lorsqu’ils sont en couple, car c’est ce sentiment qui donne à la pièce toute sa force. En même temps, il y a beaucoup d’humour. On joue sans cesse sur une balance entre l’horrible et le drôle, jusqu’à ce que, à la fin, les carapaces craquent et les émotions surgissent. Du coup, on n’en sort pas déprimé mais au contraire avec une énergie positive, parce qu’on a vécu des expériences humaines fortes.

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