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T. Carlson & F. Carvajal « Cela ressemble parfois à un duo avec Merce »

Propos recueillis par Julie Cadilhac, La Grande Parade, mai 2019

Quel a été l’élément déclencheur de votre désir de créer « Not a moment too soon »?
TC
: Plusieurs personnes m’ont demandé si je tenais un journal personnel au cours des années où j’étais avec Merce, d’autres voulaient savoir si j’allais écrire un livre sur cette période de ma vie, et une amie en particulier m’a carrément incité à «faire quelque chose» au regard de toutes ces histoires que je partageais déjà entre amis, à propos de ces aventures que lui et moi avions vécues ensemble. C’est cette même amie généreuse qui, avec sa famille, m’a octroyé une subvention pour réfléchir à la manière dont je pourrais transmettre ou enregistrer ces histoires (en précisant également qu’en ce qui concernait l’aide financière accordée ce pouvait être «simplement pour sortir et manger de bons dîners avec Ferran pour le prochain couple d’années. »). La liberté qu’elle m’autorisait en n’attendant rien en retour a été en fait une grande motivation pour moi, pour nous deux d’aileurs – Ferran et moi. Cela m’a aidé à réfléchir à la façon d’essayer de me souvenir de tout.

FC: L’idée initiale était basée sur une demande faite à Trevor d’écrire un livre sur son histoire et ses relations personnelles avec Merce Cunningham. Étant donné sa résistance à l’écriture, j’ai suggéré de commencer une série d’interviews dans lesquelles nous pourrions collecter ses souvenirs. Je l’ai interviewé pendant des mois, au début seulement avec sa voix, puis en introduisant une caméra et en ajoutant des lumières, tout se dirigeait vers la possibilité d’un documentaire plutôt que d’un livre. Un jour, Trevor m’a dit qu’il rêvait très fort de Merce. J’ai invité mon ami et dramaturge Albert Tola à participer au processus. À partir de là, nous avons travaillé à la transcription des rêves de Trevor, en écritures automatiques, et à une écriture guidée basée sur les images symboliques de ses rêves. L’idée était d’aider à révéler le subconscient. Avec tous les matériaux qui ont émergé, je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup de potentiel pour pouvoir faire un travail scénique. Je lui ai demandé s’il serait capable de raconter sa propre histoire sur scène et il m’a dit que nous pourrions essayer. Nous avons eu plusieurs réunions et ateliers pour écrire et travailler avec des scènes et des mouvements. Dans l’une d’elles, le directeur du Mercat de les Flors de Barcelone de l’époque nous a dit qu’il était intéressé par le matériau et qu’il aimerait commander la pièce. À partir de ce moment, toute la procédure de recherche s’est dirigée vers une pièce scénique. C’était très organique. Il n’y avait pas d’intention claire au début, c’est le même processus qui a conduit à la matérialisation du travail.

Trevor Carlson, vous êtes seul sur scène…Dans quelle mesure peut-on dire qu’il s’établit une sorte de dialogue entre vous et l’esprit de Merce Cunnigham?
TC: Même si je suis seul sur scène, je ne me sens jamais vraiment seul à cause des divers éléments créatifs. Cela ressemble parfois à un duo avec Merce car il est toujours présent à travers ces vidéos très spéciales qu’il a prises de son fauteuil roulant, parfois quand nous étions ensemble et parfois quand il était seul. Il y a beaucoup d’autres éléments sur scène, y compris des caméras de surveillance qui me capturent tout au long du spectacle, comme si j’étais interviewé par un journaliste ou interrogé par un ami ou même observé par une mouche sur le mur. Parmi les autres éléments de nos collaborateurs artistiques, citons les contributions du cinéaste espagnol Miquel Àngel Raió et du compositeur Jaume Manresa, ainsi que de l’artiste visuel américain Casey Curran. Tous ces éléments combinés permettent de créer une sorte de tapisserie ou de canevas qui contribue à l’histoire et donne beaucoup moins l’impression que je joue un solo.

Si vous deviez définir ce spectacle en quelques mots…lesquels utiliseriez-vous?
TC: C’est une histoire sérieuse et honnête sur l’existence de l’un des chorégraphes les plus influents du monde au cours des dernières années de sa vie.

Enfin, à la fin de la pièce, quel souvenir, quelle impression souhaiteriez-vous avoir transmise de lui?
TC: De toujours prendre des risques et d’être passionné par tout et tout ce que vous faites. C’est le présent qui crée les souvenirs de notre passé.

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