(1977)
C’est la première pièce d’envergure créée par Dominique Bagouet. Pour l’inauguration du Centre chorégraphique régional de Montpellier en 1980, il créera une nouvelle version de cette pièce.
(1980)
Le 4 janvier 1980 à l’auditorium Maurice Ravel de Lyon, un gala a lieu pour la préfiguration de la Maison de la Danse. À cette occasion, Dominique Bagouet crée un solo en trois parties, inspirées de pièces du répertoire de sa compagnie : Suite pour violes, Sous la blafarde et Danses blanches. Il est accompagné sur scène par Eliane Lencot à l’accordéon.
(1982)
Pièce créée le 5 juillet 1982 au 2ème Festival Montpellier Danse dans la Cour Jacques Cœur de Montpellier. Insaisies porte en elle toute l’ironie, l’inquiétude, la gravité ombrée qui ont donné à la danse de Bagouet son incroyable profondeur.
(1983)
Autoportrait unique de l’œuvre de Dominique Bagouet, cette pièce est charnière dans son évolution. Travestissements, grandes plages de silence, décor déliquescent, tout dans cet hommage à la « Fiancée de Frankenstein » et au héros du dédoublement pathétique est à la fois déchirant et jubilatoire.
(1984)
Spectacle créé le 1er juillet 1984 au 4e Festival Montpellier Danse au Théâtre de Grammont. Par l’incroyable complexité et la radicale nouveauté de cette écriture, la pièce aura désarçonné non seulement son public, mais aussi ses danseurs, qui la voient aujourd’hui comme l’alphabet de la danse Bagouet.
(1985)
Créée le jour de son anniversaire le 9 juillet 1985 au Théâtre Municipal de Montpellier (Opéra Comédie) lors du 5ème Festival Montpellier Danse. Le nom de la pièce est emprunté à une musique du compositeur Gilles Grand.
(1986)
Cette pièce créée le 20 septembre 1986 à l’Opéra de Lyon est la première collaboration de Dominique Bagouet avec le compositeur Pascal Dusapin. La musique est interprétée par l’orchestre philharmonique de Montpellier Languedoc Roussillon.
(1987)
Née de la collaboration avec le plasticien Christian Boltanski, artiste de la mémoire et du matériau impalpable, cette pièce est créée le 24 juin 1987 au 7e Festival Montpellier Danse dans la Cour Jacques Cœur de Montpellier.
(1988)
Après le Saut de l’ange, liberté était donnée aux danseurs d’élaborer une pièce à partir de leurs propres propositions. Toutes les configurations étaient explorées et se succédaient dans une accumulation joyeuse. Ces solos à la façon Bagouet se révèlent à la fois comme un catalogue du style délicatement ciselé et comme de purs moments d’autodérision.
(1989)
Cette pièce créée lors du Festival Montpellier Danse 1989 dans la Cour Jacques Cœur à Montpellier est une adaptation du roman Aflation, Alexandre d’Emmanuel Bove, auteur particulièrement apprécié par le chorégraphe.
(1990)
Spectacle créé le 4 juillet 1990 au Festival Montpellier Danse dans la Cour des Ursulines à Montpellier. Sur la musique des Doors, la pièce évoque les approches – premiers émois, jeux, désespoirs passagers, passages à vide – des états adolescents.
Toutes ces images d’archives sont issues de Numeridanse, la plateforme multimédia de la danse. Elle donne accès à un fonds vidéo unique : spectacles filmés, documentaires, interviews, fictions, vidéo danse. Tous les genres, styles et formes sont représentés : butô, danse classique, néoclassique, baroque, danses indiennes, africaines, flamenco, contemporain, danses traditionnelles, hip hop, tango, jazz, arts du cirque, performance…
Porté et coordonné par la Maison de la Danse de Lyon, Numeridanse a été imaginé par le réalisateur Charles Picq.
Web Série : Montpellier Danse 40 ans - Épisode 5
À l’occasion des 40 ans du Festival Montpellier Danse, les voix et les souvenirs de grandes figures de la danse et de la culture montpelliéraine vous plongent dans l’histoire du festival et vous font revivre des moments de danse inédits. Dans cet épisode, Catherine Legrand nous parle du remontage de So Schnell, présenté au Théâtre de l’Agora en septembre 2020 et à l’Opéra Comédie lors de la Saison 21.22.
Les podcasts du 42e festival - Épisode 9
Virginie Vives a rencontré Rita Cioffi à l’Agora. Ancienne danseuse de Dominique Bagouet, désormais chorégraphe habitant toujours à Montpellier, elle a travaillé avec les élèves du Conservatoire National Supérieure de Musique et de Danse de Paris au remontage de Necesito, pièce pour Grenade. Comment travaille-t-on avec Dominique Bagouet ? Comment transmettre son œuvre ? Les jeunes élèves interprètes ont dansé une pièce créée alors qu’ils n’étaient pas nés. Ils nous donnent leur points de vue.